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« Ça n’arrête pas », se réjouit maître Jordan Miccoli, l’un des « permanenciers » du stand du barreau des avocats de Grenoble. Un stand proposé par les avocats lors de la Nuit du droit, manifestation qui a eu lieu le 4 octobre dans l’enceinte du palais de justice de Grenoble.

Comment travaille un chien pour rechercher des produits stupéfiants… un atelier qui a bien marché.

Ça n’arrête pas, car il y avait foule dans la salle des pas perdus. Tous les acteurs de la justice étaient là. Les services de l’État, naturellement avec les forces de secours et de sécurité, mais aussi les acteurs de la prévention, de la médiation. De la protection judiciaire de la jeunesse en passant par le secours en montagne ou la médiation familiale…

Ce que l’on demande aux avocats? Comment on le devient, tout d’abord. Les études qu’il faut suivre, la difficulté des concours… Ce qui intéresse également le public, souvent composé d’étudiant en faculté de droit ou en IUT carrières juridiques, c’est la journée type d’un avocat. Sans oublier la question qui fascine toujours : peut-on défendre quelqu’un dont on soupçonne la culpabilité?

Question qui touche au fonctionnement de la justice. C’était d’ailleurs l’ambition de cette nuit du droit que d’en montrer les rouages. Des conférences étaient organisées pour donner à voir comment s’exerce le métier de juge, les questionnements auxquels les magistrats doivent faire face. Conférences également sur la justice administrative, les modalités de l’accès au droit ou encore la prévention de la radicalisation…

Une nuit fort complète qui a suscité l’engouement d’un public jeune avec une participation très comparable aux deux précédentes éditions de 2018 et 2019. La justice intéresse et le citoyen a soif d’en comprendre les mécanismes.

Dès 17h et jusqu’à 21h pour les dernières, les conférences ont fait le plein.
Devant le stand des avocats grenoblois, les discussions n’ont pas cessé plusieurs heures durant.
La gendarmerie, dans toute la diversité de ses missions.

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